L’Allemagne ne participera pas à d’éventuelles frappes occidentales contre la Syrie, a indiqué jeudi la chancelière Angela Merkel cité par plusieurs médias locaux.
«Merkel déclare que l’Allemagne ne prendra pas part à de possibles actions militaires en Syrie», a rapporté le journal Die Welt, précisant au la chancelière allemande assure que son gouvernement «mettrait tout en œuvre pour démontrer que l’usage d’armes chimiques était inacceptable».
Avant cela, les Etats-Unis avaient menacé de frapper la Syrie en réaction à la supposée attaque chimique du 7 avril dernier contre la localité de Douma dans la Ghouta orientale.
Dans cet ordre d’idées, le président américain Donald Trump avait demandé à Moscou de se préparer à intercepter des missiles dans le ciel syrien et d’arrêter d’appuyer le président syrien Bachar al-Assad.
De même, le Pentagone s’était dit « prêt » à proposer des options militaires pour atteindre ses objectifs cibles en Syrie. Mais, la suite Sarah Sanders, la porte-parole de la présidence américaine a temporisé en affirmant que la décision finale n’a pas encore été prise.
De son côté, la Première ministre britannique, Theresa May a ordonné à des sous-marins actifs en mer Méditerranée de se placer à distance de frappe de la Syrie, à en croire The Daily Telegraph.
Quant au président français Emmanuel Macron, il s’est contenté d’indiquer que Paris décidera sur la Syrie «en temps voulu» et au moment le «plus utile et efficace».
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