L’ONG Rights Watch (HRW) qui faisait à ses débuts, trembler les gouvernements en matière de violation des droits de l’homme, s’est transformée depuis le départ de son fondateur, Robert L. Bernstein, en un cabinet de lobbying qui fait chanter les dirigeants surtout des pays pauvres pour leur soutirer en toute discrétion des dessous de table.
Robert L. Bernstein, un éditeur idéaliste épris de liberté avait d’ailleurs qualifié peu avant sa mort en 2019, Human Rights Watch de « morally bankrupt » (moralement en faillite) après avoir déjà fustigé dans une célèbre tribune publiée le 19 octobre 2009 par le New York Times, les dirigeants de cette ONG pour avoir dévoyé la mission première qu’il avait imaginée pour HRW qu’il a dirigée pendant 20 ans en l’érigeant au rang des plus notoires organisations de défense de droits de l’Homme au monde.
Cette faillite morale de HRW qui prétend défendre les droits humains dans le monde, avait été également l’objet en mai 2014 d’une lettre ouverte inédite de deux lauréats du prix Nobel de la Paix la militante, Mairead Maguire originaire d’Irlande du Nord et l’activiste argentin, Adolfo Perez Esquivel ainsi que d’une centaine d’universitaires, de militants des droits humains et de journalistes de renommée mondiale.
Ces deux appréciations ont levé le voile sur le vrai visage et les véritables visées de Human Rights Watch qui ne diffère guerre des dictatures qui survivent encore dans les quatre coins de la planète, puisqu’elle maintient depuis 27 longues années à sa direction, l’indéboulonnable Kenneth Roth et son subalterne Éric Goldstein depuis 31 ans au poste de directeur de la région MENA.
La dernière victime prise pour cible par cette ONG censée défendre les droits de l’homme en toute transparence et sans parti-pris, n’est autre que le Maroc, une démocratie montante en Afrique et dans le monde arabe, et qui a eu droit à un rapport de 143 pages très critiques mais complètement vides de preuves et d’arguments solides et convaincants, selon les experts.
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