L’organisation de l’Etat Islamique (EI) a tué un journaliste pour espionnage à Mossoul, deuxième ville d’Irak sous contrôle djihadiste, comme rapporté samedi par des responsables et des collègues de la victime.
Le 4 juin dernier, le journaliste Jala al-Abadi avait été enlevé alors qu’il se trouvait à son domicile et, par la même occasion, son téléphone et son ordinateur avaient été confisqués. C’est mercredi dernier qu’il a été tué par un peloton d’exécution après avoir comparu devant un tribunal du groupe djihadiste. Son décès a été confirmé par un ex-responsable de sécurité de la région et une source médicale.
Né en 1988 et père deux enfants, Jala al-Abadi avait eu à prester en tant que caméraman pour une chaîne de télévision locale avant que Mossoul ne tombe entre les mains de l’EI à la date du 10 juin 2014. Par conséquent, ce jeune journaliste avait quitté cette ville. Mais, à en croire une connaissance, il a été contraint d’y retourner par la suite « pour des raisons personnelles ». En tentant à nouveau de quitter Mossoul, Jala al-Abadi a été arrêté par des éléments de l’organisation djihadiste, qui l’a accusé de « faire fuiter des informations » sur l’EI dans la presse nationale.
Ce n’est pas la première fois que ce groupe islamiste tue un professionnel des médias à Mossoul : avant Jala al-Abadi, plusieurs journalistes ont connu le même sort. En réaction à ce dernier cas, Mohammed al-Bayati, qui dirige le Ninive Media Network, une petite organisation syndicale locale, a condamné l’exécution de M. Abadi avant d’appeler l’ONU à apporter son soutien aux familles des journalistes tués. Mossoul est la capitale de la province irakienne de Ninive.
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