Les ONG Amnesty International (AI) et Human Rights Watch (HRW) qui prétendent défendre les droits humains, peinent aujourd’hui à cacher leur vrai visage d’organes déstabilisateurs et leur stratagème à peine voilé de faire chanter les dirigeants de certains Etats pour leur extorquer des fonds indus.
Dans un récent rapport, Amnesty International n’a pas trouvé meilleure recette que d’accuser les forces de l’Ukraine en guerre contre la Russie, de mettre en danger la vie des civils en utilisant des zones habitées à des fins militaires.
Cette attitude a contraint la responsable d’Amnesty en Ukraine, Oksana Pokaltchouk à démissionner en se déclarant indignée par la publication de ce rapport sans même avoir entendu la version de la partie ukrainienne.
Pokaltchouk a souligné dans un communiqué sur sa page Facebook, que ledit rapport n’est autre qu’«un outil de propagande» servi sur un plateau d’argent à l’envahisseur russe.
De son côté le président ukrainien, Volodymyr Zelensky a lui aussi exprimé son indignation face au comportement partial d’Amnesty International qu’il accuse de «tenter d’amnistier l’État terroriste» en mettant «la victime et l’agresseur d’une certaine manière, sur un pied d’égalité».
Amnesty n’est d’ailleurs pas la seule ONG à faire preuve de partialité dans le traitement de certains dossiers des droits humains, Human Rights Watch s’en est pris tout récemment au Maroc en lui reprochant dans un rapport controversé de réprimer les opposants, basé sur les calomnies de l’AMDH qui est financée par des fonds étrangers.
Plusieurs associations et organisations marocaines des droits de l’homme n’ont pas hésité à dénoncer avec vigueur, les allégations tendancieuses de HRW qui se base dans ses rapports sur des contrevérités sans fournir la moindre preuve crédible sur les prétendus abus des autorités marocaines.
A travers leurs rapports étriqués et très loin de la réalité, ces deux ONG ne font que perdre de leur crédibilité et font l’objet de vives critiques au niveau international et de la part de médias de large diffusion pour leurs tentatives de déstabilisation et leur acharnement sur certains Etats en épargnant d’autres par crainte de représailles.
Les rapports de HRW ont été dénoncés par son propre président fondateur, Robert L. Bernstein qui, peu avant sa mort en 2019, avait qualifié Cette ONG de « moralement en faillite » (morally bankrupt).
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