La justice omanaise musèle les opposants
Les sentences pour « crime de lèse-majesté » et « violation de la loi sur la cybercriminilatité » continuent de pleuvoir à Oman, au grand dam des organisations internationales telles que Reporters Sans Frontières. C’est sous ces chefs d’accusation que la justice omanaise sanctionne les personnes qui se livrent sur Internet à des critiques sur la personne du sultan et sur la classe dirigeante. Le dernier cas en date est celui du journaliste Mukhtar Al-Hinai, du quotidien…